Armée d'Italie.
Buonaparte, général en chef.
Combat de Hundsmarck ; l'arrière-garde ennemie
est défaite par l'avant-garde française, et
mise en déroute, avec perte de six cents hommes
faits prisonniers, et de trois cents restés
sur le champ de bataille.
Entrée des Français dans Hundsmark, Kintenfeld,
Mureau et Judembourg ; l'ennemi est par tout
forcé à la retraite, et la jonction de ses
colonnes divisées, devient désormais impossible.